On ne devient pas professeur par hasard !

Être enseignante, une vocation

J'ai très vite arrêté ma carrière d'ingénieure pour me consacrer totalement à l'enseignement. Cela fait maintenant une vingtaine d'années que je m'épanouis dans cette merveilleuse mission de transmission de savoir. Ci après ma formation.

  • Baccalauréat Scientifique au lycée Fernand Daguin, Mérignac
  • Deux années de Classes Préparatoires aux Grandes écoles au lycée Montaigne, Bordeaux
  • Diplômée ingénieure après trois années à l'école d'ingénieur Polytech, Clermont-Ferrand



Mes références

Pour ceux qui s'intéresseront à ma formation et à mon parcours, voici la liste des liens qui font mention de mon implication dans différents concours et projets scientifiques.

Lauréate du prix interrégional sur l'éthique professionnelle :
Prix de la vocation scientifique et technique des filles :
Ingénieure grande école :


J'enseigne la méthodologie avant tout

En mathématiques, c'est surtout beaucoup de méthode.

Un élève qui a de mauvais résultats en mathématiques n'est pas forcément un élève qui ne travaille pas. Bien souvent, il apprend sa leçon et connaît ses définitions, ses propriétés et ses théorèmes par coeur.

Mais face à un exercice, il ne sait plus par où commencer et bloque complètement dès le début du problème.

Ce qui lui manque ? Une méthode ! Apprendre le cours n'est pas suffisant en mathématiques, c'est la base mais ce n'est que la première partie du travail de l'élève. Il faut ensuite rassembler toutes les méthodes vues dans le chapitre et les travailler: elles nous aideront à déterminer la marche à suivre face à un type de problème posé.

Je rédige donc avec chaque élève des fiches méthodiques didactiques pour les aider à résoudre leurs exercices de manière plus organisée.

Ma Méthode

Il n'y a pas de question bête ;)
Il ne faut pas avoir honte de poser des questions. En terminale, les élèves trainent parfois des lacunes depuis la 5ème ! Ils sont gênés de dire qu'ils n'ont jamais vraiment compris comment résoudre une équation, alors ils ne disent rien. Ils se débrouillent.
Mais comment résussir son année sans avoir assimiler les bases ? Je détecte dès les premières leçons les lacunes de l'élève et je reprends tout à zéro si cela est nécessaire, sans dramatiser et toujours avec le sourire.
J'encourage!
Quand on se sent dépassé par les mathématiques, on perd vite confiance en soi. C'est pour cette raison que j'encourage tous mes élèves. Quand je consulte leurs devoirs, je ne pointe pas du doigt uniquement leurs échecs : je leur montre aussi systématiquement où ils ont réussi. Reprendre confiance et ne pas se sous-estimer sont deux points capital dans la réussite des élèves.
Je remotive!
"Les maths, ça sert à rien de toute façon dans ce que je veux faire".
Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai entendu cette phrase ! Je peaufine depuis plusieurs années une argumentation détaillée pour démontrer aux élèves qu'ils se trompent.
"Déjà, ça te servira à avoir le bac !" Je trouve cette raison suffisante mais par souci pédagogique, je m'efforce d'aller plus loin. Ce n'est pas forcément les maths qui vont leur servir à quelques chose (il faut bien l'avouer, les racines carrées ne nous servent pas tous les jours), mais plutôt le développement de leur "esprit mathématique".
Sans oublier que les mathématiques sont le critère de sélection principal de tous les examens à échelle mondiale.
J'invite à un autre regard sur les maths
Pour dédramatiser la matière, je raconte à l'occasion de petites anecdotes sur les mathématiciens qui ont découvert leur théorème (Einstein, Pythagore, Al Kashi, Chasles...). Je leur propose aussi dans l'espace élèves des jeux mathématiques ludiques.
Les maths, ça peut vite devenir une passion dans ces conditions !